Crash du ? 1944

SAINT GEORGES DE GRÉHAIGNE

 

P-47D-25-RE,

tombé entre le 6 juin et 31 juillet 1944 ?, pilote POW ?. EVD ?

 

GO 

&usp

P.47 EN PHASE D'IDENTIFICATION 

 

 
début travaux

Début du chantier

SORTIE MOTEUR

Sortie du moteur

CHANTIER

Le moteur

FERRAILLE

Ensemble moteur et aile

MOTEUR

Le moteur !

MOTEUR

Le moteur

AILE

Un morceau de l'aile droite, où était placé la bombe

TRAIN

Jambe de train

TRAIN

Jambe de train

TRAIN

Jambe de train

Moyeu de l'hélice

Le pneu

UNE PLAQUE

Une plaque d'identification

LA PALE

Une seule pale de retrouvée sur les quatres

TOLE
Morceau de tôle avec de la peinture grise

BOMBE

La bombe de 250 kg

BOMBE

La bombe de 250 kg

DESSIN
Voici de dessiné à l'intérieur d'un morceau de l'aile retrouvée : une bombe surmontée d'un chapeau mexicain, il est inscrit boum !

165, suivi en chiffres romain XII.

 

journal

 

carte
A gauche les restes d'un avion remisé sur la commune de Sains.

Dans le rond : le crash du P-47, encastré en parti dans le fossé bordant ce chemin.

En bas sur le plan : une batterie de FlaK connue pour son emplacement sur la bute de Villartay. Ce P-47 fut il touché par cette batterie ?

Le P-47 a été touché sous le ventre dans le train d'atterrissage. La roue gauche est absente, d'après les témoins une des roues a mis le feu à un pommier, car l'avion est tombé dans un verger, (roue + essence, sans doute, réservoir touché).

Des impacts ont été relevés dans le train droit.

Les quatre premières mitrailleuse du P-47, aile gauche ont été retrouvées à 1,50 environ dans le sol.

Le P-47 semble être tombé sur le ventre ! après que son pilote ai réalisé sans doute une chandelle pour évacuer son avion en feu (témoignages),

tombé sur le ventre, (constat avec la pâle, dans sa courbure), à une profondeur de quatre mètres, aile droite possédant encore sa bombe.

Le tout dans un enchevêtrement, moteur, trois mitrailleuses, pâle d'hélice, une dernière mitrailleuse, et un mètre plus profond, la bombe !

Il semble d'après les témoignages qu'une bombe a explosé dans un champ, à l'ouest du crash, ce P-47 venait d'après les témoins de la direction de l'ouest.

 

Peu d'indices pour identifier ce P-47, de couleur grise, peinture blanche et noire, bandes de débarquement. Peinture bleue de l'étoile américaine.

Casserole d'hélice orange.

Un témoigne retrouvé, qui accrédite que ce P-47 peut être tombé à la fin de juillet, d'après les témoins les allemands étaient encore présents.

 

Témoignage : A Saint Georges de Gréhaigne : un avion anglais étant tombé en flammes tout à côté, le pilote réussit à sauter en parachute, tomba dans l'herbe et se cacha dans une criche ; malheureusement un détachement de jeunes allemands se trouvait tout proche ; le parachutiste blessé fut rapidement pris et, passant près d'eux, ces jeunes soldats leur dire , tout fiers : " Voilà notre premier prisonnier ! "

Une grande quantité de munitions se trouvaient parsemées qu'il récupérait ce qui lui permit de constituer un bon stock de poudre. Avec Louis Legros, Auguste Boutrouel et le vétérinaire Riou ils organisent des moyens de protection.

Mais déjà ils entendent les détonations dans la région d'Avranches, puis plus proche, de l'autre coté du Couesnon, un combat de chars avant Pontorson. Puis ce sera très rapidement la libération de Pontorson. (31 juillet 44).

Source : la libération de Dol

 

Numéros des six mitrailleuses identifiables : 1063142 - 1251509 - 1251514 - 1251476 - 1251616 - 1251562.

Selon une étiquette du constructeur retrouvée, il s'agit d'un P-47D-25-RE .

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